Alors que le gouvernement nouvellement réélu se prépare à présenter ses priorités législatives lors du prochain discours du Trône, les Canadiens sont impatients de connaître les plans de mise en œuvre des politiques pour lesquelles ils ont voté. Pendant les élections, les Canadiens ont accordé la priorité à la création d’emplois durables dans l’optique d’une volonté collective verte découlant de l’accroissement d’un sentiment d’urgence pour la santé de notre planète.
Ce faisant, les Canadiens ont démontré leur désir que ces priorités soient mises en œuvre dans l’esprit de la réconciliation autochtone. Les engagements pris lors des élections générales en faveur d’une action audacieuse au bénéfice du climat sont source d’optimisme. Les entreprises ont hâte d’apprendre les détails du processus favorisé par le gouvernement pour atteindre ses objectifs en matière de changement climatique.
Une économie bleue transformée doit être un pilier central de la stratégie du gouvernement pour ressortir de la pandémie en tant que leader mondial d’une croissance économique durable forte. Absorbant plus de carbone que toutes les forêts tropicales combinées, l’océan du Canada abrite le plus grand puits de carbone au monde, jouant ainsi un rôle critique dans la réglementation climatique.
Cette semaine, MIT Technology Review a publié son Blue Technology Barometer, qui a classé le Canada au 10e rang parmi les 66 pays et territoires côtiers du monde selon l’activité marine, l’innovation ainsi que les politiques et les changements climatiques.
Il s’agit là d’un bon résultat. Toutefois, en tant que nation fière de posséder le plus long littoral au monde, une histoire profondément liée aux ressources océaniques et certaines des technologies bleues émergentes les plus prometteuses au monde, le Canada doit maintenant prendre sa place à la tête d’une reprise bleue mondiale.
Supergrappe des océans du Canada (SOC) et ses presque 450 membres de partout au pays ont déjà commencé à diriger une transformation des plus nécessaire. Faisant le pont entre des secteurs et des organisations océaniques d’un océan à l’autre, Supergrappe des océans est un réseau collaboratif dirigé par l’industrie qui stimule de nouveaux investissements, accélère l’innovation et apporte de nouvelles possibilités dans l’économie bleue du Canada d’une manière inédite.
Ainsi, SOC a approuvé 64 projets d’une valeur de 320 millions de dollars, dont 86 % sont dirigés par des petites et moyennes entreprises (PME), et ce, uniquement au cours des trois dernières années. Parmi ces entreprises se trouve Horizon Maritime qui participe à trois projets avec des partenaires de l’Alberta, de la Nouvelle-Écosse et de Terre-Neuve-et-Labrador. Deux de ces projets apportent des solutions axées sur la réduction des émissions dans le transport maritime et l’autre projet vient favoriser la participation des peuples autochtones dans les secteurs océaniques. Sean Leet, le PDG de l’entreprise, souligne la contribution de la supergrappe à la réunion de partenaires qui n’auraient jamais envisagé de travailler ensemble autrement.
Bien qu’elle n’en soit qu’au début de son périple, SOC est déjà à l’origine de répercussions positives directes dans les collectivités côtières et intérieures, créant des milliers d’emplois bien rémunérés et d’innombrables autres emplois maintenus pendant la pandémie. Cela comprend également des programmes visant à accroître la participation des peuples autochtones, des femmes, des jeunes et d’autres groupes sous-représentés à l’économie bleue ainsi qu’au soutien de la croissance de quarante nouvelles entreprises maritimes par le biais de son projet Ocean Startup (Démarrage dans le secteur de l’océan).
En tant que lien vital entre les entreprises et le gouvernement fédéral, la Chambre de commerce du Canada préconise de tirer parti de l’initiative novatrice du secteur privé au service de l’économie bleue. Il suffit de penser à la résilience démontrée par le milieu des affaires au cours des deux dernières années pour confirmer le rôle qu’il doit jouer dans la détermination de la position du Canada après la pandémie. L’ingéniosité, l’innovation et l’expérience qui caractérisent de nombreuses petites et moyennes entreprises, permettront de proposer des solutions judicieuses et de tracer la voie vers l’objectif zéro émission, si on leur en donne les moyens.
Le mois dernier, on a créé un groupe de travail sur les investissements bleus, appuyé par les chambres de tout le pays. Dirigé par Supergrappe des océans, ce groupe viendra faciliter un effort coordonné en vue de diversifier des produits et stratégies d’investissement. Un climat d’investissement concurrentiel favorisera l’innovation et permettra aux PME de contribuer au développement de l’économie bleue et ce faisant, à la création des emplois qui en découlent.
Nous sommes impatients de collaborer avec le gouvernement fédéral pour mettre en œuvre des politiques et des lois habilitantes visant à faire progresser l’économie bleue, dont le développement d’infrastructures pour appuyer le développement durable et l’intendance des océans, des rivières, des fleuves et des lacs du Canada.
Le dernier budget fédéral nous a offert beaucoup d’éléments réjouissants à partir du programme national de garderies jusqu’aux engagements renouvelés envers la lutte contre le changement climatique. Pour bâtir l’histoire économique du Canada et les mesures nécessaires pour stimuler la croissance économique, le gouvernement fédéral n’a pas besoin de chercher plus loin qAlors que le gouvernement nouvellement réélu se prépare à présenter ses priorités législatives lors du prochain discours du Trône, les Canadiens sont impatients de connaître les plans de mise en œuvre des politiques pour lesquelles ils ont voté. Pendant les élections, les Canadiens ont accordé la priorité à la création d’emplois durables dans l’optique d’une volonté collective verte découlant de l’accroissement d’un sentiment d’urgence pour la santé de notre planète.
Ce faisant, les Canadiens ont démontré leur désir que ces priorités soient mises en œuvre dans l’esprit de la réconciliation autochtone. Les engagements pris lors des élections générales en faveur d’une action audacieuse au bénéfice du climat sont source d’optimisme. Les entreprises ont hâte d’apprendre les détails du processus favorisé par le gouvernement pour atteindre ses objectifs en matière de changement climatique.
Une économie bleue transformée doit être un pilier central de la stratégie du gouvernement pour ressortir de la pandémie en tant que leader mondial d’une croissance économique durable forte. Absorbant plus de carbone que toutes les forêts tropicales combinées, l’océan du Canada abrite le plus grand puits de carbone au monde, jouant ainsi un rôle critique dans la réglementation climatique.
Cette semaine, MIT Technology Review a publié son Blue Technology Barometer, qui a classé le Canada au 10e rang parmi les 66 pays et territoires côtiers du monde selon l’activité marine, l’innovation ainsi que les politiques et les changements climatiques.
Il s’agit là d’un bon résultat. Toutefois, en tant que nation fière de posséder le plus long littoral au monde, une histoire profondément liée aux ressources océaniques et certaines des technologies bleues émergentes les plus prometteuses au monde, le Canada doit maintenant prendre sa place à la tête d’une reprise bleue mondiale.
Supergrappe des océans du Canada (SOC) et ses presque 450 membres de partout au pays ont déjà commencé à diriger une transformation des plus nécessaire. Faisant le pont entre des secteurs et des organisations océaniques d’un océan à l’autre, Supergrappe des océans est un réseau collaboratif dirigé par l’industrie qui stimule de nouveaux investissements, accélère l’innovation et apporte de nouvelles possibilités dans l’économie bleue du Canada d’une manière inédite.
Ainsi, SOC a approuvé 64 projets d’une valeur de 320 millions de dollars, dont 86 % sont dirigés par des petites et moyennes entreprises (PME), et ce, uniquement au cours des trois dernières années. Parmi ces entreprises se trouve Horizon Maritime qui participe à trois projets avec des partenaires de l’Alberta, de la Nouvelle-Écosse et de Terre-Neuve-et-Labrador. Deux de ces projets apportent des solutions axées sur la réduction des émissions dans le transport maritime et l’autre projet vient favoriser la participation des peuples autochtones dans les secteurs océaniques. Sean Leet, le PDG de l’entreprise, souligne la contribution de la supergrappe à la réunion de partenaires qui n’auraient jamais envisagé de travailler ensemble autrement.
Bien qu’elle n’en soit qu’au début de son périple, SOC est déjà à l’origine de répercussions positives directes dans les collectivités côtières et intérieures, créant des milliers d’emplois bien rémunérés et d’innombrables autres emplois maintenus pendant la pandémie. Cela comprend également des programmes visant à accroître la participation des peuples autochtones, des femmes, des jeunes et d’autres groupes sous-représentés à l’économie bleue ainsi qu’au soutien de la croissance de quarante nouvelles entreprises maritimes par le biais de son projet Ocean Startup (Démarrage dans le secteur de l’océan).
En tant que lien vital entre les entreprises et le gouvernement fédéral, la Chambre de commerce du Canada préconise de tirer parti de l’initiative novatrice du secteur privé au service de l’économie bleue. Il suffit de penser à la résilience démontrée par le milieu des affaires au cours des deux dernières années pour confirmer le rôle qu’il doit jouer dans la détermination de la position du Canada après la pandémie. L’ingéniosité, l’innovation et l’expérience qui caractérisent de nombreuses petites et moyennes entreprises, permettront de proposer des solutions judicieuses et de tracer la voie vers l’objectif zéro émission, si on leur en donne les moyens.
Le mois dernier, on a créé un groupe de travail sur les investissements bleus, appuyé par les chambres de tout le pays. Dirigé par Supergrappe des océans, ce groupe viendra faciliter un effort coordonné en vue de diversifier des produits et stratégies d’investissement. Un climat d’investissement concurrentiel favorisera l’innovation et permettra aux PME de contribuer au développement de l’économie bleue et ce faisant, à la création des emplois qui en découlent.
Nous sommes impatients de collaborer avec le gouvernement fédéral pour mettre en œuvre des politiques et des lois habilitantes visant à faire progresser l’économie bleue, dont le développement d’infrastructures pour appuyer le développement durable et l’intendance des océans, des rivières, des fleuves et des lacs du Canada.
Le dernier budget fédéral nous a offert beaucoup d’éléments réjouissants à partir du programme national de garderies jusqu’aux engagements renouvelés envers la lutte contre le changement climatique. Pour bâtir l’histoire économique du Canada et les mesures nécessaires pour stimuler la croissance économique, le gouvernement fédéral n’a pas besoin de chercher plus loin que dans notre océan pour élaborer une stratégie de croissance et de développement des compétences qui soit fondée sur la durabilité, la numérisation, l’inclusivité et le respect d’autres modes de savoir.
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